Chut ! Nous entrons dans le cœur du deuxième concerto pour piano de Ravel, dans un mouvement lent aux allures de berceuse.
Les longs arabesques du piano ornent une texture orchestrale plutôt calme mais dialoguent avec un "second" soliste : le cor anglais qui exprime toute l’étendue de son registre chantant et chaleureux. Irrésistible !
Ah, Ravel me bouleverse !